La prison est censée remettre les hommes dans le droit chemin. On ne sait pas si la mission sera accomplie mais dans ce pénitencier, les petites frappes sont dès l'entrée soumises et rééduquées pour apprendre à obéir à la bite et à aimer ça. Les bad boys subissent un véritable lavage de cerveau à coups de dards et deviennent des passifs dociles dont le seul événement de la journée est la visite de leur maton qui les utilise comme vide burnes. Et voilà que ce grand gars ancien criminel tète comme un soumis et file son cul avec plaisir. Bon dressage !
Suite à leurs délits, une bande de jeunes mecs se retrouvent prisonniers de guerre. Ici l'armée ne plaisante pas et les supérieurs n'ont plus de limite. Ils choisissent parmi les prisonniers celui qu'ils trouvent le plus appétissant et se font une joie de lui ordonner de se mettre à poil pour l'ausculter, le palper et commencer à le dresser comme une chienne. Le hasard fait bien les choses : le prisonnier est un homo refoulé qui est tout excité de se retrouver face à 3 mâles dominateurs et au regard puant le vice. En voyant leur victime docile bander comme une salope, les machos comprennent qu'ils ont définitivement carte blanche pour baiser de ses fentes. Ca va mitrailler.
Ils pensaient avoir le pouvoir... Les deux gardiens de prison menaient d'une main de fer leurs prisonniers. C'est facile de rabaisser des gars quand on les enferme en cage. Mais ils ont sans le savoir transformé ces mâles en prédateurs sexuels. A puissance d'être bloqués entre hommes, ils ont appris à se vider dans des culs et ont gouté aux joies de la domination. Cela fait des semaines qu'ils ont prévu leur coup pour réaliser leur nouveau fantasme : capturer les gardiens et les baiser. Enfermés à leur tour, les gars sont bien obligés d'obéir aux taulards et de se transformer en bâtards. Pompage extrême et défonce du cul à la sauvage.
Une prison tenue de main de fer par des militaires. Beaucoup de danger, de tension et aussi de frustrations : le personnel fait des heures de travail à n'en plus finir. Plus de vie perso, les mâles sont enfermés dans cette atmosphère 100 % testostérone. Au bout d'un moment, gardes et sergents se reluquent et il suffit d'un dérapage dans les vestiaires pour que les hommes déballent leur paquet et se pompent leur gros dard comme des affamés. C'est lancé, plus possible de reculer, y a plus qu'à enculer. Quand un troisième mec entre dans la pièce, il succombe à l'odeur de teub et se joint à ses camarades pour une explosion de fion bien chaude.
