Il a été l'un de ses premiers coups de coeur, le beau mec du lycée sur lequel il s'est tapé ses premières queues, celui qui lui a fait réalisé qu'il était attiré par les mecs et par la bite. Aujourd'hui, ils se revoient et le playboy lui fait comprendre qu'il a lui aussi envie de lui. Après des années d'attente, c'est le moment et ils vont kiffer à fond, en se suçant à tour de rôle. Le bogosse se révèle être passif et va donner son cul pour se faire prendre bien fort, couinant et en demandant toujours plus. Le fantasme prend vit et lu jus va couler sans restriction.
Vacances entre potes, les premières sans les parents. Deux garçons prennent du bon temps, glandent et aussi expérimentent. Après s'être tapé un max de queues à deux, les amis se disent que la branlette ça va un moment mais ce serait quand même bien d'essayer plus. Le minet brun déclenche la suite de l'initiation en sortant sa tub pour que son pote la gobe. Puis il lui rend la pareille et se met à grave le chauffer, en bougeant son derrière comme une femelle. Faire ça devant un jeune mâle en rut de 18 ans, obligé ça réveille toutes les ardeurs. Et c'est parti pour une première sodomie profonde et intense !
Quoi de plus agréable que de se faire réveiller le matin par un jeune homme chaud prêt à vous faire jouir ? Ce garçon n'a que 19 ans mais cela fait déjà un an qu'il se fait baiser par son colocataire. Ce dernier aime spermer le matin et reproduit toujours le même schéma. Il toque à la porte, entre, le réveille en lui caressant le cul et finit par lui donner son déjeuner : une bonne teub bien épaisse et crémeuse qui lui bouche la gueule à fond ! Avec ça, c'est la gaule du matin assurée et un sévère besoin de se faire enfiler. Pas d'inquiétude : le coloc ne se fait jamais prier pour limer son doux passif et le bourre jusqu'à ce qu'il jouisse. Un bon gros réveil à la bite.
C'est une auberge de jeunesse pour gays. Les garçons peuvent venir et se faire des amis le temps de leur voyage. Un cadre convivial qui favorise les rencontres et les coups de bite ! Car cette auberge est blindée de petits passifs qui ont envie de se faire péter le trou. Résultat : ça pompe du zob et ça se fait enculer à tous les étages sans état d'âme. Le personnel est souvent absent, c'est l'occasion de niquer dans les pièces communes ou de se taper des branlettes super chaudes. Une bonne adresse, indéniablement.
